Dans la quiétude d’une pièce baignée de lumière,
Une nature morte s’anime, prend vie à notre vue,
Sur une table, trône une scène qui éclaire,
Des objets chromés, cuivrés, une vision devenue.

Le cuivre luit d’une douce chaleur,
Comme un feu intérieur, une lueur d’antan,
Éclats métalliques, précieux et enchanteurs,
Reflets dorés dansants, un festin pour l’œil errant.

Les reflets dansent, la lumière se joue,
Sur ces objets figés, une magie en suspens,
Comme autant de miroirs où l’âme se noue,
Une danse silencieuse, un moment éblouissant.

La table devient un miroir de l’âme,
Où se mêlent mémoire et rêverie,
Chaque objet raconte une histoire, une trame,
De vies passées, d’amour, de mélancolie.

La nature morte, une poésie figée dans le temps,
Capturant la lumière, les reflets, les émotions,
Un instant suspendu, un tableau vivant,
Où chaque objet parle, une douce invitation.

Dans ce monde de chrome et de cuivre,
La beauté se révèle dans la simplicité,
La table devient un poème, un récit sobre,
Une nature morte qui éveille la créativité.

Alors, contemplons cette scène, cette merveille,
Où la lumière et les reflets dansent en harmonie,
Une nature morte qui captive et émerveille,
Un hommage à la vie, à l’art, à l’infini.