Dans l’ombre des dunes, près de la mer salée,
Se dresse une cité aux mille vies animées.
Gabès, ô merveille, aux charmes ensorcelants,
Je veux t’écrire en vers, en mots envoûtants.

Tes plages de sable fin, caressées par les vents,
Où le soleil se lève, chaque jour en chantant.
Les vagues qui chuchotent, douces mélodies,
Dansent avec les étoiles, en symphonie infinie.

Ton port, berceau d’échanges, de mille histoires marines,
Où les bateaux reviennent, chargés de racines.
Les pêcheurs, héros discrets de ton destin,
Capturant la richesse de la mer, sans fin.

Les jardins suspendus, oasis de verdure,
Où palmiers et dattiers défient la chaleur.
Là où l’eau coule, précieuse et vitale,
Offrant à la terre une vie sans égale.

Gabès, tes souks envoûtent les sens,
Étalages de couleurs, de parfums, d’essences.
L’artisanat, trésor de traditions et de talents,
Rappelle l’âme de la Tunisie, éternellement.

À l’ombre de ton Ribat, gardien du passé,
Les ruelles étroites, ton histoire sont gravées.
Tes palmeraies, un trésor de l’humanité,
Un héritage précieux, une beauté préservée.

Gabès, tes dunes secrètes, tes secrets ensevelis,
Raconte-moi ton histoire, dis-moi tes folies.
Ton peuple, sa fierté, sa générosité,
Gabès, je te chante en poème, en sincérité.

Dans l’écrin du désert, sous le ciel étoilé,
Gabès, tu es une perle, une réalité enchantée.
Ce poème, humble hommage à ta beauté,
À toi, Gabès, je dédie en toute sincérité.